(369 de notre ère) … Thémistius fait l’éloge de Valens qui, alors qu’il pouvait exterminer les Goths, a préféré les épargner, et il formule cette extraordinaire comparaison : nous nous préoccupons beaucoup, dit-il, de préserver les espèces animales, nous ne voulons pas voir disparaître les éléphants de Libye, les lions de Thessalie et les hippopotames du Nil ; nous devons donc nous réjouir que Valens ait sauvé de l’extermination « une population d’hommes, peut-être des barbares, comme le diront certains, mais des hommes tout de même. « Champs Histoire n° 974 p. 58

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